Kwerk Bienfaisance Lobby

le design d'émotion d'Albert Angel

Albert Angel fait de chaque adresse Kwerk une expérience unique.

Albert Angel

«Quand on parle de bien-être au travail, les gens pensent tables de ping-pong et baby-foot. Pour nous, il s’agit de tout autre chose : de créer des environnements de travail sur mesure. » Spécialiste du design de l'hospitality, Albert Angel, est convaincu que nous sommes à l’aube d’un nouveau rapport à notre environnement de travail. « En ces temps de crise sanitaire et de télétravail prédominant, les employés n’ont plus envie de faire des heures de transport pour s’assoir à un bureau inconfortable et mal éclairé. Ils souhaitent évoluer dans un cadre apaisant et ressourçant. » La pandémie n’a fait qu’accélérer un changement d’aspiration global : « Les gens ne veulent plus se sacrifier au travail en vue d’une sécurité future. Ils veulent être heureux dès maintenant, en faisant ce qui a du sens pour eux.»

Kwerk Bienfaisance Lobby

Des espaces pensés de A à Z

Alors que la Covid-19 contraint les entreprises à repenser l’aménagement de leurs locaux, Albert Angel a une longueur d’avance : depuis 6 ans, l’architecte-designer n’a d’autre but que de concevoir les plus beaux environnements de travail au monde. L’entreprise qu’il a fondée en 2015 avec Lawrence Knights est Kwerk, transcription phonétique de « quirk ». En anglais, « quirky »signifie « excentrique », « différent ». Pour le duo, l’innovation est une seconde nature. « Nous proposons des espaces pensés de A à Z pour le bien-être de ceux qui les occuperont », s’enthousiasme-t-il.

Leur dernière adresse parisienne, située au 22 boulevard Malesherbes dans le 8e, en est la meilleure démonstration. Soutenus depuis la naissance de Kwerk par Moïse Mitterrand, président du groupe BASSAC (anciennement Les Nouveaux Constructeurs), Albert Angel et Lawrence Knights ont pu y pousser encore plus loin leur vision. L’entrée majestueuse subjugue et recentre. L’architecture monumentale du Lobby évoque un temple lointain. Les bureaux sont équipés d’un mobilier thérapeutique conçu pour respecter et entretenir le corps. Des espaces de wellness permettent de se détendre. Un Bistro propose café et tisane ayurvédique. Destinés en priorité à une clientèle grands comptes, les espaces sont d’emblée séduit des groupes soucieux de la gestion de leurs ressources humaines. « Entretien, WiFi, climatisation, outil de gestion des salles de réunion… Notre prise en charge est totale, ce qui garantit d’une part la simplification du bilan financier et d’autre part la sérénité et donc l’efficacité des salariés », se félicite Albert Angel.

Un tropisme pour l’Afrique

Albert Angel naît et grandit à Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo. Sa famille déménage souvent. Son père travaille dans le commerce de cacao et de café, mais c’est surtout son goût pour les aménagements intérieurs qu’il transmet à son fils. Dès l’âge de 9 ans, Albert dessine des maisons. Sa vocation naît là, entre un père passionné de décoration et une grande sœur qui deviendra sculptrice, dans une mégalopole qui le confronte très tôt à la pauvreté. « Dans la rue, je voyais l’injustice autour de moi, le manque d’infrastructures. Je suis animé par un continuel besoin de réparation : j’ai toujours l’ambition de faire mieux. »

Quand il a 12 ans, la famille s’installe à Cape Town, en Afrique du Sud. Il découvre une ville à l’architecture époustouflante, bâtie en harmonie avec la mer et la montagne toutes proches. Son diplôme universitaire en poche, il s’envole pour New York, s’initie au design des musées chez Ralph Appelbaum Associates, puis au concept d’environnement de marque auprès de l’architecte Lyndy Roy et des designers Bruce Mau et Marc Gobé. Ces rencontres lui permettent d’affiner ses goûts : son but n’est pas de construire des immeubles mais de penser des lieux qui marqueront la mémoire de ceux qui y vivent. « Contrairement à beaucoup de ses confrères, Albert place l’émotion au centre », résume Lawrence Knights. Passionné d’aviation, Albert passe ensuite 3 ans chez le designer Walter Landor à repenser l’univers de Delta Airlines, avant de se tourner vers la restauration et surtout l’hôtellerie, son obsession.

Il crée une quinzaine d’établissements à Miami, à l’Île Maurice et surtout en Afrique – à Dakar, Abidjan, Kigali, Libreville… – pour la chaîne d’hôtels Onomo. Ses racines sont sur ce continent, où il revient régulièrement. « Les designers basés en Afrique regardent souvent vers l’Europe. Moi, je me suis formé là-bas, mais je n’y vis plus. Cela m’a amené à développer pour elle une forme de romantisme. »

Kwerk Haussmann Lobby

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